Le cancer du pancréas est une maladie agressive. On prévoit qu'il deviendra le deuxième cancer le plus meurtrier au monde d'ici 2030, avec un taux de survie à 5 ans inférieur à 5 %, ce qui souligne le besoin médical urgent d'options thérapeutiques que nous souhaitons aborder.
Depuis 2019, nous travaillons avec le Luxembourg Institute of Health (LIH) sur une plateforme innovante de profilage fonctionnel personnalisé des médicaments (PFP) qui permet un dépistage automatisé des options de traitement médicamenteux. Les Hôpitaux Robert Schuman, avec ses partenaires, est impatient de poursuivre le développement de cette plateforme PFP et de l'adopter pour d'autres types de cancer dont les options thérapeutiques sont limitées, comme le cancer du pancréas.
Les cultures cellulaires conventionnelles ne parviennent pas à reproduire l'organisation in vivo des cellules dans leur environnement naturel. En revanche, les cultures en 3D, appelées organoïdes, permettent une modélisation plus précise des cellules tumorales dans leur environnement naturel et sont donc plus utiles pour prédire un traitement personnalisé des patients atteints de cancer du pancréas.
Les dons serviront à couvrir les coûts opérationnels d'une étude de deux ans impliquant la PFP pour un maximum de 50 patients atteints d'un cancer du pancréas.
Depuis 2019, nous travaillons avec le Luxembourg Institute of Health (LIH) sur une plateforme innovante de profilage fonctionnel personnalisé des médicaments (PFP) qui permet un dépistage automatisé des options de traitement médicamenteux. Les Hôpitaux Robert Schuman, avec ses partenaires, est impatient de poursuivre le développement de cette plateforme PFP et de l'adopter pour d'autres types de cancer dont les options thérapeutiques sont limitées, comme le cancer du pancréas.
Les cultures cellulaires conventionnelles ne parviennent pas à reproduire l'organisation in vivo des cellules dans leur environnement naturel. En revanche, les cultures en 3D, appelées organoïdes, permettent une modélisation plus précise des cellules tumorales dans leur environnement naturel et sont donc plus utiles pour prédire un traitement personnalisé des patients atteints de cancer du pancréas.
Les dons serviront à couvrir les coûts opérationnels d'une étude de deux ans impliquant la PFP pour un maximum de 50 patients atteints d'un cancer du pancréas.